Une super maison de ville avec beaucoup à offrir à Buzançais ! Un sous-sol, cette propriété milieu du siècle offre 4 chambres et un joli jardin avant ainsi qu'une série de pièces au RDC. A l'arrière, il y a une deuxième maison de deux pièces, idéale pour les invités, une cour de stationnement clôturée et un double garage avec une porte en bois rétractable. Sur le côté se trouve un très grand atelier avec une large entrée frontale et un jardin clôturé séparé, permettant l'accès des véhicules. On peut également y accéder depuis la cave. Allis en bon état avec double vitrage, isolation du toit et chauffage central et immédiatement habitable. Depuis l'avant, on accède à la propriété par un portail piétonnier avec un système d'interphone, et un chemin vers la porte d'entrée. A l'intérieur, le hall d'entrée a des portes vers un WC invité, cave, cuisine, salon et grande armoire. La cuisine est équipée et a de doubles portes-fenêt qui donne sur le balcon.
Toutes les 4 chambres ont des sols en bois et de grandes fenêtres qui laissent de lumière. Le salon a un beau sol carrelé et une cheminée ouverte. Le RDC comporte une série très étendue de pièces de rangement, une salle de bains et une pièce avec de grands éviers ainsi que le garage qui abrite le système de chauffage central, le chauffe eau et l'adoucisseur. Il y a un chauffe d'eau chaude séparé pour la cuisine. La maison arrière est accessible par la cour arrière ou par le garage et comprend une cuisine carrelée avec des unités et un salon avec un plancher en bois.
Offrant des écoles, des supermarchés, des banques, des magasins, des bars et des restaurants, Buzançais est une ville d'environ 4 500 habitants et une histoire riche depuis sa fondation à l'époque gallo-romaine.
En 1847, une cargaison de blé à destination d'Issoudun arrive et les chauffeurs s'arrêtent dans une auberge locale. Les femmes de la ville s'opposent au départ du convoi malgré l'intervention du maire et des gendarmes, et une véritable émeute dirigée contre les riches bourgeois de la ville commence. La foule pille le moulin, saccage les maisons et il faut l'arrivée d'une troupe de soldats pour que le calme revienne. Nombreuses arrestations sont effectuées ; les jacqueries de Buzançais ont un retentissement national, citées par des écrivains comme Gustave FLAUBERT dans "L'éducation sentimentale", Victor HUGO dans "Les Misérables", Karl MARX dans "La lutte des classes en France", et l'écrivain Indrien George SAND dans "Les Correspondances".
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